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Bonjour SVP je sais que c reste vraiment beaucoup mais j’ai essayer de me relire bien enormement de fois mais en vin
2022.09.17Je ne comprend vraiment que dalle ! Merci d’avance !!
Acte II, scene 5 ARLEQUIN, LISETTE
ARLEQUIN.
Ah ! Madame, sans lui j’allais vous dire de belles choses, ainsi, je n’en trouverai plus que de communes a cette heure, hormis mon amour qui reste extraordinaire ; mais a propos de mon amour, quand est-ce que celui-ci lui tiendra compagnie ? LISETTE. On doit esperer que cela viendra. ARLEQUIN. Et croyez-vous que i§a vienne ? LISETTE. La question est vive ; savez-vous que vous m’embarrassez ? ARLEQUIN. Que voulez-vous ? Je brule, ainsi, je crie au feu. LISETTE. S’il m’etait permis de m’expliquer si vite… ARLEQUIN. J’habite du sentiment que vous le pouvez en conscience. LISETTE. J’ai retenue du sexe ne le veut jamais. ARLEQUIN. Ce n’est donc pas la retenue d’a present qui donne bien d’autres impressions. LISETTE. Mais, que me demandez-vous ? ARLEQUIN. Dites-moi votre petit brin que vous m’aimez ; tenez, je vous adore, moi, faites l’echo, repetez, Princesse. LISETTE. Quel insatiable ! Eh beaucoup, Monsieur, je vous aime. ARLEQUIN. Eh bien, Madame, je me meurs ; le bonheur me confond, j’ai peur d’en arpenter nos champs, vous m’aimez, ce qui est admirable ! LISETTE. J’aurais lieu a mon tour d’etre etonnee de la promptitude de ce hommage ; peut-etre m’aimerez-vous moins quand nous nous connaitrons plus. ARLEQUIN. Ah, Madame, quand nous en serons la j’y perdrai beaucoup, il y aura beaucoup a decompter LISETTE. Vous me croyez plus de qualites que je n’en ai. ARLEQUIN. Et vous, Madame, vous ne savez jamais les miennes ; et je ne devrais vous parler qu’a genoux. LISETTE. Souvenez-vous qu’on n’est gui?re les maitres de le sort. ARLEQUIN. Les peres et les meres font bien a leur tronche. LISETTE. I mon sens, mon c?ur vous aurait choisi, dans quelque etat7 que vous eussiez ete. ARLEQUIN. Cela a beau jeu pour me opter pour i nouveau. LISETTE. Puis-je me flatter que vous etes ainsi a mon egard ? ARLEQUIN. Helas, quand vous ne seriez que Perrette ou Margot, quand je vous aurais vue le martinet a mon tour, descendre a la cave, vous auriez forcement ete la Princesse. LISETTE. Puissent de si beaux sentiments etre durables ! ARLEQUIN. Pour les fortifier de part et d’autre, jurons-nous de nous aimer forcement en depit de chacune des fautes d’orthographe que Vous allez avoir faites sur mon compte. LISETTE. J’ai plus d’interet a votre serment-la que vous, ainsi, je le fais de tout mon c?ur. ARLEQUIN, se met a genoux. Votre bonte m’eblouit, et je me prosterne devant elle. LISETTE. Arretez-vous, je ne saurais vous souffrir au sein d’ une telle posture-la, je serais ridicule de vous y laisser ; levez-vous. Voila i nouveau quelqu’un.
1- Ce texte est-il un dialogue de roman ou de theatre ? Justifie avec deux elements du texte 2- Dans cette scene les personnages se trompent l’un dans l’autre. Releve deux indices qui le montrent : a) une phrase b) un pronom personnel 3- Comment appelle-t-on ce procede theatral qui consiste a prendre quelqu’un Afin de votre nouvelle ? 4- Quel engagement Arlequin cherche-t-il a obtenir meilleurs sites gratuits de rencontres amГ©ricains une part de Lisette ? Justifie ta reponse par le releve entre guillemets d’un passage du propos. 5- Pourquoi Arlequin insiste-t-il autant pour obtenir une promesse d’la part de Lisette ? 6- Quel benefice croit-il tirer d’un mariage avec Lisette ? (1 point) 7- A J’ai ligne 32, releve le verbe qui indique que Lisette formule votre souhait. A quel mode votre verbe est-il conjugue ?
Les reponses
mais non tu neet gui?re hors theme
le pont neuf, une cabine telephonique, le kiosque des noctambules
a la fois amusantes et etonnantes car de nombreux boulot, une dimension folle, juste avec de l’emballage. ce qui convoque a reflechir concernant ce que nos artistes veulent envoyer tel messages
ces artistes contemporains font avec l’empaquetage des choses, des oeuvres, a la fois de l’ephemere et du gigantisme, des realisations hors des e-boutiques traditionnels, habituels comme les ateliers et les galeries. ils nous interpellent sur la beaute des structures, sur l’architecture, sur la dimension. ils touchent a la symbolique des lieux dans lesquels ils interviennent ” qu’ils revelent en les cachant”.
c’est fera Afin de impressionner le public, donner de nouvelles visions.
on percoit un intervention tel un cri de liberte car quand les oeuvres paraissent emballees, on ne les voient plus de J’ai meme facon. elles paraissent uniques, intemporelles et surtout elles n’appartiennent a personne