施工実績

[C’est complique] Cette semaine, Lucile conseille Nathalie qui, apres une affaire a laquelle i§a a cru, a le sentiment de ne point donner a toutes les hommes l’envie de s’engager avec elle.

Temps de lecture: 5 min

«C’est complique» reste une sorte de courrier du c?ur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexite– et ou une chroniqueuse vous repond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni medecin, ni gourou. Elle avait simplement le desir de amener les problemes. Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pourrez ecrire a cette adresse: [email protected]

Vous pouvez aussi laisser votre message dans notre boite vocale en appelant au 07 61 76 74 01 ou par Whatsapp au aussi 06. Lucile vous repondra prochainement dans «C’est complique, le podcast», dont vous pouvez retrouver des episodes ici.

Et Afin de retrouver des chroniques precedentes, c’est via la.

J’ai 34 annees. J’ai vecu la toute premiere grosse histoire d’amour quand j’avais la vingtaine. I  l’origine, ca a ete dur pour lui, car j’etais plutot attiree par quelqu’un d’autre. Cela fut perseverant, tel au sein des histoires a l’eau de rose, et ca a marche. On a vecu une excellente histoire qui possi?de dure quatre ans, avec parfois des hauts et des bas, mais toujours en etant complices. Elle a mis plusieurs mois a se finir. Je pensais meme 1 jour que l’on se remettrait ensemble, mais depuis, Il semble devenu papa.

C’est moi qui y ai mis fin. J’me sentais enfermee dans une routine. J’avais besoin d’explorer qui j’etais et de sortir une vie de couple. S’en seront suivies plusieurs annees de celibat.

J’ai fera des rencontres. J’ai a nouveau senti battre notre coeur, aime, et de nombreux fois, suis finalement restee via ma faim. Correctement souvent, c’est l’autre personne qui, apres m’avoir seduite, renoncait finalement a aller plus loin. A chaque fois, j’ai mis un moment a passer a autre chose.

Je me qualifierais de solitaire, tout en etant entouree et sociable. Je fais nombre d’activites, suis investie dans mon bricolage. Ces derniers temps libre, je sens en moi comme une tension, un besoin de construire prochainement un projet de vie avec quelqu’un.

Quelques mois avant le confinement, j’ai rencontre quelqu’un sur une application de rencontre, une ancienne connaissance de fac. J’ai tres vite senti qu’on pouvait partager quelque chose de bien sur 1 moment long et j’appreciais beaucoup le fait qu’a travers son humour, sa maniere de devenir, il pousse a explorer une autre personne en moi.

J’avais l’impression que les sentiments etaient partages.

J’etais aussi etonnee qu’il prenne si rapidement des photos de moi, me propose de me conduire en visite chez une amie, pose de lui-meme claque que celui-ci ne danserait gui?re (aussi que je ne lui ai jamais rien reclame). meme lorsqu’il est rarement disponible durant ces mois, au final.

On a passe le confinement chacun a demeure. C’etait une periode eprouvante ou J’me suis demande pourquoi J’me retrouvais seule. J’avais besoin de sentir une tendresse de sa part, saisir un tantinet mieux De quelle fai§on lui le vivait, ainsi, profiter de ce temps libre pour apprendre a le connaitre davantage. Il a mal commande un message. M’a dit que je lui accordais trop d’importance, que ca le rigidifiait et qu’il preferait en rester la.

On a un tantinet poursuivi les echanges. Cela a dit que j’etais belle, intelligente, drole, enthousiaste, mais qu’il ne pouvait pas repondre a les attentes, avait une idee bien precise de comment ca aurait fini. On m’a blessee. Du coup, il n’a jamais ete reellement net via ses propres attentes et n’a pas demande nos miennes. J’espere et j’apprehende de le croiser dans la rue, car je sais que nos lieux d’embauche paraissent proches. Apres une premiere rencontre, c’etait d’ailleurs une de l’ensemble de ses craintes: «On est presque collegues», alors qu’en cinq single muslim site ans, on ne s’est pas croises.